Où est la savon SBAF Je crois que je l'ai trouvée ... ; pv Leeland.

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Être dans un orphelinat cela a des avantages mais aussi des inconvénients. Les avantages sont qu’elle peut faire de nouvelle connaissance, mais surtout le plus gros avantage selon elle c’est qu’elle n’est pas séparé de son frère Harrison! Si on l’avait séparer de lui, elle aurait piqué sa crise c’est sûr et certain. Bon maintenant passons aux inconvénients. Être dans un orphelinat, cela voulait dire pour Mackenzie qu’elle ne serait plus jamais auprès de ces parents, qu’elle disait au revoir à toute sa vie, mais lorsqu’elle est arrivée ici, elle eut un énorme choc. Les douches étaient commune !! Les douches communes c’est la phobie de mademoiselle Cohen. Enfin les douches communes étaient séparés en douches communes pour fille et en douche commune pour garçon, encore heureux sinon Miss Mackenzie-Luz nous aurait fait une crise cardiaque. Enfin pour elle, le moment de la douche est très difficile. Elle y va soit très tôt le matin,soi très tard le soir. Et oui, c’est qu’elle est pudique notre Mackenzie.

Enfin, le soir était tombé. La jeune adolescente de seize ans se dirigea vers les douches. Elle essayait d’être la plus discrète possible. Une fois, arrivée aux douches, la jeune femme déposa ces affaires dans un coin. Mackenzie était à présent en maillot de bain, oui parce que Mac’ prend ces douches en maillot de bain et alors ? Mackenzie sentit l’eau de la douche couler le long de son corps. Elle eut un frisson puisque l’eau était légèrement, mais juste légèrement glacial. En même temps vu l’heure qu’il était, il était normal que l’eau ne soit pas chaude! Enfin la jeune femme sentit que ces yeux commençait à lui piquer. La raison ?! Et bien elle avait du shampoing dans les yeux c’est tout. Elle recula un peu pour enlever ce qu’elle avait dans les yeux, mais connaissant l’adresse de l’adolescente, elle se retrouva par terre en deux seconde. Et oui, elle avait glissé sur le savon …. Enfin elle avait crié tellement fort que tout le monde l’a entendu !

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Il était très tard. Le couvre feu était dépassé depuis longtemps. Si bien des occupants du manoir étaient au fond de leur lit, ça n’était pas mon cas. Ma petite balade nocturne n’était toujours pas effectué, je n’étais pas prêt d’aller me coucher. Jetant un œil discret dans le couloir, je n’entendis personne. Parfait, j’allais pouvoir disparaitre. Je sortis sur le pas de la porte puis, grimaçant je tentais de faire le moins de bruit possible en refermant cette porte grinçante.

Passant devant le bureau des surveillants, je m’assurais de passer inaperçu. C’était le difficile à faire. Parce qu’il suffisait de se faire prendre pour qu’ensuite on vous ait à l’œil pour des années entières. Enfin pour ma part, je ne me suis jamais fait prendre. Ce qui était aussi difficile dans cette petite épreuve, était de définir le bon moment. Les surveillants ne faisant jamais leur ronde aux mêmes heures. Personne à droite. Personne à gauche. Je traversais le couloir qui débouchait sur les douches communes. C’était toujours un petit détour supplémentaire pour rejoindre l’extérieur mais au moins, c’était tranquille. Car qui prendrait une douche aussi tardivement. Je m’apprêtais à soupirer quand un cri attira mon attention.

Le cri venait des douches des filles. Grimaçant, hésitant, je marquais un temps d’arrêt. Visiblement, j’étais le seul dans les parages. Je frappai à la porte mais aucune voix ne répondit, machinalement, j’entrai. Quelques pas plus tard, je me stupéfiai. Il n’y avait qu’elle pour faire un raffut pareil à une heure si tardive. Je me retins alors de lever les yeux au ciel.

- Rien de cassé ? m’enquis je doucement, ne sachant si je devais approcher.

Mac’ pouvait être adorable comme une véritable furie. Difficile de savoir ce qui se passait à l’instant même dans sa petite tête. J’attrapais une serviette sur le coté avant de la lui tendre machinalement. Tout en sachant que ma place n’était surement pas dans les douches… quelle mouche m’avait encore piqué d’aller vérifier si tout allait bien !

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« - Rien de cassé tout va bien »

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Etre discret et ne pas se faire repérer, voilà la solution pour mes sorties nocturnes. C’était pas la mer à boire. J’avais mon petit rituel chaque soir. Et comme à chaque occasion, j’assurais mes arrière. Je passais toujours par les couloirs les moins fréquentés ainsi, les chances que je croise un surveillant était rare.

Toutefois, on entendait régulièrement des cris dans les murs de l’orphelinat. Les plus jeunes qui étaient apeurés, surtout les nouveaux arrivant. Ça pouvait durer pendant des mois. Pour ma part, ça n’avait pas été mon cas, même si les premiers temps il m’avait été difficile d’accepter la souffrance et la solitude. Mais ça remontait à plus d’une décénnie. Aujourd’hui, on pouvait même dire que j’étais rôdé.

Passant non loin des douches, j’en pris la direction après que ce cri m’ait alerté. L’espace de quelques secondes, je patientais au cas où un surveillant ou une personne autre que moi l’aurait entendu. Puis finalement, je fonçais dans les douches pour y découvrir : Mac, sous la douche, assise parterre. La considérant un instant, j’haussais un sourcil.

Répondant à ma question, je me retint de lui adresser un demi sourire. Machinalement, je me retournais derrière moi, pour m’assurer que personne n’arrivait. Je me rapprochais alors pour lui tendre une serviette. Certes elle était en maillot de bain et j’étais plutôt bien placé pour savoir ce que cachait ses formes, mais à son regard, je sus que je l’embarrassais. Machinalement, je me détournais, espérant que ce malaise disparaisse.

- On dirait que c’est pas cette fois que t’arrivera à réveiller tout le monde. Qu’est ce qui s’est passé ?

Détendre l’atmosphère devenait urgent. J’avais beau l’avoir repoussé il y a peu, je verrouillais toujours mon cœur. Pas question qu’on s’attache à moi. Et j’avais été blessant. D’une certaine manière, je m’en voulais car elle ne méritait pas que je la traite ainsi. Je levais alors mon regard dans le sien.

- Puisque tu n’as rien de cassé… je vais te laisser, soufflais je en commençant à m’éloigner, songeant que c’était la meilleure façon pour que cette gêne se dissipe. Toutefois, je me tournais une dernière fois. Fais attention à toi, Mac’…

Je ne pensais pas qu’elle serait celui avec qui elle voulait parler. En même temps, j’aimais parler avec elle. Mais je ne ferais pas l’erreur de me rapprocher d’elle. Si elle avait besoin de discuter, elle devrait faire le premier pas. Bien que je doutais que ça soit la bonne chose pour l’évolution de notre relation.

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« - Oh dommage c'était mon intention de réveillé tout le monde. J'ai marché sur le savon, et BOOM je suis tombé. »

« -Attend reviens !! »

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Ce genre d’incident ne tombait forcément que sur moi. Bien sur un autre occupant du manoir aurait pu se trouver à ma place, mais ça n’était évidemment pas le cas. A cet heure, tout le monde était censé être couché. Sauf moi, bien sur. Pas avant ma promenade nocturne. Je devinais déjà que celle-ci allait être repoussé à plus tard, au moment où je passais la porte des douche. Pour voir quoi ? ou plutôt qui ? mon ex, en maillot de bain, étalé par terre ! J’aurais vraiment mieux fait de partir en courant au moment où elle avait hurlé. La situation allait être gênante, tendue et très embarrassante.

Après lui avoir tendue une serviette ou je me détournais d’elle pour qu’elle puisse l’enrouler autour d’elle, j’en vint à lui demander ce qui c’était produit. A cet instant, j’en aurais rit, si la situation n’était pas si tendue entre elle et moi. Je croisais brièvement son regard, en me rappelant qu’elle aurait bien faillit réveillé tout le monde.

« - Avec toute ta maladresses, je me demande encore comment tu peux être intact… » soulevais je en secouant la tête.

Je n’avais jamais agit de gaieté de cœur en rompant avec elle. C’était juste pour son propre bien. Cette relation ne menait à rien de bon. Toute relation ne menait à rien de bon, me rappelais je.

Un silence s’installa et finalement je décidai qu’il valait mieux que je disparaisse avant de créer des dégâts supplémentaires. Je me convins que c’était la chose à faire et pourtant, je n’étais pas parvenue à ne pas me retourner. Cette fille était adorable même si beaucoup craignaient ses crises. Ça n’était pas mon cas. Lorsque sa voix me parvint je n’avais pas atteint la porte. Je me tournais à demi pour la voir s’approcher pour me demander d’attendre. Attendre quoi. Me passant brièvement la langue sur ma lèvre inférieure.

« - Tu devrais te rhabiller. Tu vas attraper froid… » m’enquis je doucement, plus pour sa santé. Tous les sujets de conversations étaient désormais difficile entre nous. « Je t’attends dans le couloir, si tu y tiens… »

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« - Je ne sais pas, peut être que c'est ma bonne étoile »

« - Euh ouais... »

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Ce qui me dérangeait le plus dans cette situation ? Sûrement cette gêne. J’avais beau faire mon possible pour l’éviter, elle. Enfin non, je ne l’évitais. Je restais en dehors de son chemin. Ce qui ne voulait pas dire que c’était simple. Surtout qu’elle vivait comme moi entre ses murs. Il y avait des moment inévitable. Comme les repas. Je l’observais généralement du coin de l’œil. Je ne mêlais pas aux autres, mais parfois certaines personnes s’invitaient à ma table. Ça ne me faisait rien. Ils discutaient entre eux, j’écoutais leur conversation d’une oreille discrète mais je les observais tous avec attention. Sauf qu’à cet instant, dans cette douche avec elle, je ne savais plus exactement quoi faire.

Pour ne pas changer, je battais en retraite, tout en m’assurant qu’elle allait bien. Valait mieux être prudent, surtout si on en croyait les ragots qui filtraient à travers ses murs. Sa remarque m’aurait bien décroché un sourire, si je m’y étais laissé prendre.

« - Alors assure toi bien, qu’elle reste bien accroché au dessus de toi. Je voudrais pas qu’il t’arrive quoi que ce soit… » soufflais je, doucement.

J’avais rompu et alors ? C’était pour son bien. Ok, elle ne savait pas pourquoi. Mais au moins, j’étais toujours là à garder un œil sur elle au cas où. Ça pouvait sembler étrange comme attitude mais au moins, lorsque je ne serais plus là. Elle se rappelera des meilleurs moments. Et j’espère faire partie des meilleurs moments de sa vie, même si le lieux où l’on vivait ne s’y prête pas vraiment.

Par instinct protecteur, je la convins de se rhabiller puis que je l’attendrais dans le couloir. Visiblement, elle souhaitait me parler. De quoi ? J’en ais aucune idée. Allez savoir, avec Mac’ difficile de deviner ses pensées. Sans la lâcher des yeux, je passais alors la porte. Mon instinct aux aguets, je me concentrais sur chaque bruit, espérant que personne ne viendrait troubler ce moment. Peut être pourrions nous devenir ami, si cet tension voulait bien disparaître.

Ce fut alors le bruit de la porte à coté de moi, qui retint mon attention. Me tendant, je la vis apparaitre à mes cotés, ses cheveux mouillées tombant sur ses épaules.

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« - Pourquoi? »

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Appuyé contre le mur, j’étais conscient que j’avais l’unique occasion de disparaitre. Ainsi, je ne reverrais pas Mac avant le lendemain. Prendre la fuite n’était pas la solution, j’avais beau en être persuadé pourtant, c’était ce que j’étais sur le point de faire. Sauf que mes jambes étaient incapable de bouger. Ça ne serait pas loyal et une telle attitude serait surtout lâche. Ne méritait elle pas de connaître un bout de vérité même si celle-ci la blesserait ?

Le couloir n’était éclairé que par cette petite lumière qui clignotait au dessus de la porte de l’issue de secours en face de moi. Le silence régnait dans l’établissement et j’étais à peu près sur que personne ne rappliquerait à cette heure. J’étais toutefois partagé. Ce moment avec elle était toujours aussi embarrassant. J’en étais le seul coupable et l’idée de lui briser le cœur ne me plaisait pas. Pourtant, je devais assumer. J’avais fait une connerie et personne ne serait là pour m’aider à combler les dégâts. Je pris alors sur moi. Mes mains au fond de mes poches, je tournai la tête vers elle, lorsque j’entendis le léger bruit de la porte.

Elle se trouvait à peine à mes cotés que sa question vint résonner à mes oreilles. Pourquoi, moi, je ne me suis pas attendu à une telle réaction de sa part. Je vins alors nerveusement me passer une main dans les cheveux, évitant alors son regard, réfléchissant très vite.

« - pourquoi quoi ? »

Ignorer de quoi elle me parlait était mesquin. Bien sur que je savais, mais n’était il pas plus simple de l’ignorer ? Tenait elle vraiment à avoir cette conversation au beau milieu de la nuit et dans ce couloir qui plus est ? J’avais déjà pourtant la réponse à cette question, mais je n’en fis cure. Je me contentais de la dévisager, espérant qu’elle changerait de sujet. Mais peut être était ce aussi oublier qu’elle pouvait être bornée.

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« Tu sais très bien de quoi je veux parlez, alors répond-moi à cette simple question. Pourquoi?»

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C’était exactement, le genre de situation dont j’avais horreur. Enfin pas la situation mais plutôt la situation avec elle. Certes, j’avais une part de responsabilité. Soit j’aurais du tout lui dire, soit j’aurais du… ne pas sortir avec elle. Mais quand on est jeune, on fait des conneries. Et là, j’en avait commis une belle. Il appréciait la brunette. Elle était loin d’être idiote et en plus, elle était amusante. Durant un moment, notre histoire m’avait apporter un peu de fraicheur mais j’ai bien vite comprit que j’étais le seul à avoir conscience de ce qu’il adviendrait de notre histoire. Et surtout, du mal que je lui ferais.

De l’autre coté de la porte, je l’attendais. En fait, plus j’y songeais, plus je me disais que c’était le moment où je pouvais partir. Parce qu’une discussion avec elle, je n’étais pas sur d’y survivre. Comment s’expliquer en sachant que je ne pouvais pas lui dire la simple vérité… et que j’allais bientôt mourir. Qu’elle ne me reverrait plus de sa vie. Comment on annonce ça, à une personne à qui on tient ?

Seulement lorsqu’elle réapparut, elle fut comme je m’y attendais. Sa question, je fis semblant de ne pas comprendre mais je savais pertinemment ce qu’elle attendait. Mais je ne lui dirais pas. Non, elle n’était pas prête à entendre ce discours. Peut être même ne le serait elle jamais.

« - Non. » fis je précipitamment en la regardant dans les yeux.

Elle pourrait me piquer une crise, j’en avais rien à faire. Je ne lui dirais pas. Que ça soit aujourd’hui, demain ou dans six mois. Enfin si dans six mois, je serais encore vivant. Je savais qu’elle n’allais pas apprécier et c’était bien le cadet de mes soucis.

« - T’avais autre chose à me demander ? » demandais je alors en me redressant et m’écartant quelque peu d’elle. « J’ai encore des choses à faire… »

Je m’éloignais alors sans ménagement. Bien. Elle me détesterait. Peut être même pire mais au moins, j’aurais marqué de façon très nette son existence. Un jour elle m’en voudra de l’avoir tenue à l’écart. Toutefois, je sais qu’elle finira par comprendre que cette attitude, n’est voué qu’à la protéger de moi. Parce que Mac est intelligente même si elle n’aime pas le montrer ouvertement.

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«- S'il te plaît reviens !! Dis moi pourquoi tu m'a quitté !! Donne moi une excuse débile, mais je veux au moins avoir une raison !! »

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Comment protéger une personne qui refusait votre protection ? Avec elle, c’était un peu ça. J’avais beau puiser dans des trésors de patience, elle ne me lâcherait pas d’une semelle avant d’avoir un bout d’explication ou simplement un prétexte.

Etre méchant avec elle, n’entrait déjà plus dans mes options. Je ne voulais pas que ça se produise. Je voulais la revoir sourire, et sortir avec d’autres types. Au moins, elle serait assez occupé pour m’oublier. Panser la douleur que j’avais volontairement causer. Je devais le faire. Elle comprendrait plus tard. A ce moment, je ne serais sûrement plus là. Et c’était ma seule solution. Ainsi la fuite se présentait comme la meilleure des options à cet instant.

Me détournant d’elle, je n’étais même pas étonné de l’entendre encore me demander pourquoi. Et elle, pourquoi fallait il toujours qu’elle pose autant de question ? Je fis alors volte face, mon regard dardant le sien.

« - Parfois, certaines choses ne s’explique… mais sache que tu n’es pour rien dans mon choix de rompre. C’était pour ton bien. Tu mérites un type qui prenne soin de toi… ce que je ne serais pas en mesure de faire. » expliquais je brièvement, sans pour autant me détacher de son regard.

Ma froideur ne mènerait à rien, si ça n'est à la rendre encore plus suspicieuse mais je devais l'empêcher de creuser la question. De comprendre réellement pourquoi je la tenais tant à l'écart de moi. Pas besoin que tout le monde apprenne l'entière vérité sur ce que je traversais. Et puis avec un peu de chance, dans quelques semaines ou mois, elle saurait que je suis malade. D'ailleurs où finirais je mes jours ? Ici dans l'orphelinat ou à l'hôpital ? J'avais beau savoir qu'aucun chirurgien ne tenterait cette opération, j'avais toujours envie de croire qu'un miracle pourrait se produire. après tout, n'y avait il pas eu des guérisons miraculeuse au sein du manoir ?

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« - Tu me caches quelque chose c'est ça ?! Et c'est pour ça que tu ne veux pas me dire pourquoi tu as rompu avec moi … »

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Pourquoi ne pouvait elle pas accepter notre relation telle qu’elle était. Et en prime notre rupture. J’avais fais ça pour elle. Certes, mon option n’était peut être pas la meilleure mais elle avait au moins le mérite d’être claire. Pas que je ne voulais plus trainer avec elle, c’était tout autre chose.

Quoi qu’on en disait Mack restait une des personnes que j’appréciais le plus. Mais il était juste hors de question qu’elle apprenne tout de ma maladie. Ça serait un dilemme entre nous. Et je ne suis pas sur qu’elle comprendrais mon point de vue. La protégé était essentiel pour moi. Elle méritait mieux qu’un gars comme moi. Je ne pourrais jamais lui apporter de la stabilité, un équilibre ou même tout simplement une vie. J’étais condamné. Ainsi, le plus simple était de m’éloigner et qu’elle ne découvre jamais la vérité.

« - Venant de toi, je trouverais ça abusé. On a tous nos secrets, Mack. Alors crois moi lorsque je te dis qu’en connaissant le mien, ça serait toute ta vie qui changerait. Et pas de la bonne façon. Je te préserve. Garde juste ça en tête. Je n’ai jamais rompu parce que tu n’étais pas assez bien pour moi. Mais tu mérites mieux qu’un musicien raté. »

Certes, je n’étais pas très optimiste, plutôt dans le genre fataliste à vrai dire. Mais en apprenant ma tumeur et mon sursis, je doutais sérieusement qu’elle garderait ce regard à mon égard. Je ne voulais pas qu’elle me voit différemment, que ça soit tout le monde. Tant que je resterais le solitaire du manoir, tout irait pour le mieux. L’idée qu’un jour ils apprennent la vérité ne ma satisfaisait pas. Mais au moins, j’évitais ces regard de pitié braqué sur moi. Et à cet instant, c’était plus qu’important.

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« - Crois-moi, tu peux me dire ce que tu veux rien pourrait changer dans ma vie....»

« - Mais j'aimais bien être avec un musicien raté.»

Où est la savon *SBAF* Je crois que je l'ai trouvée ... ; pv Leeland.

Où est la savon *SBAF* Je crois que je l'ai trouvée ... ; pv Leeland.

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